La société, l’éducation, la culture dont nous avons hérité influencent souvent nos choix et notre perspective d’avenir. En tant que parents, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver et de faire le tri. Qu’est ce qui est bon ou non pour nos enfants ?
Nous avons créé ces petits jeux pour explorer ensemble les idées reçues sur la parentalité.
Quelle réponse vous semble la plus adaptée pour répondre à la question. Après chaque encadré, découvrez les réponses apportées par les professionnels de Rigolo Comme La Vie.
Selon vous en portant votre bébé, il va ?
1. Avoir de mauvaises habitudes et devenir capricieux
2. Se sentir en sécurité et se construire
3. Il va avoir un retard de développement moteur (retournement, position 4 pattes, marche…)
Réponse 2
En répondant à ses besoins essentiels, comme le prendre dans vos bras, le porter, vous apportez une sécurité affective dont l’enfant a besoin et qui l’aide justement à avoir plus confiance. Les gestes et les regards du parent pendant le portage stimulent la production d’ocytocine. Cette hormone contribue à se sentir en sécurité et favorise le développement dans de bonnes conditions. Le portage aide les parents à répondre plus rapidement aux besoins de leur bébé, ce qui est aussi bénéfique pour l’allaitement. Le portage n’entraîne pas un retard dans le développement moteur, mais il soutient le développement global de l’enfant, y compris sa motricité. Il peut même être bénéfique en renforçant sa musculature, son équilibre et sa coordination. Il est cependant important de proposer des moments d’exploration au sol en autonomie pour son développement moteur mais également pour lui permettre de découvrir le monde qui l’entoure et ainsi pouvoir se construire.
Ton enfant ne fait pas encore certaines choses comme les autres enfants de son âge ? C’est inquiétant !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Chaque enfant se développe à son propre rythme et il n’y a pas d’âge spécifique pour acquérir une compétence, que ce soit en motricité, en langage, en appétence pour les jeux… Certains enfants peuvent s’orienter naturellement vers certains aspects plutôt que d’autres, cela dépendra de chaque individu. Il est essentiel de l’accompagner à son rythme.
Il fait de la température. Vite donne-lui du doliprane pour faire baisser sa fièvre !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
La fièvre est une réaction naturelle du corps pour lutter contre une infection. Si l’enfant la supporte bien, il n’est pas toujours nécessaire de donner un antipyrétique. On intervient surtout si la fièvre dépasse 38,5°C et que l’enfant est très inconfortable.
Est-il préférable de réveiller un enfant de la sieste pour qu’il dorme mieux la nuit ?
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Cela peut même avoir l’effet inverse. Le sommeil est un besoin fondamental et primordial pour une bonne santé physique et psychique. Durant les cycles de sommeil, il se passe plein de choses dans le corps que ce soit pour la mémoire, l’apprentissage, la régulation des émotions, la croissance… Si vous réveillez un enfant pendant une sieste, cela pourrait perturber son rythme naturel de sommeil et rendre l’endormissement plus difficile la nuit car l’enfant peut être grognon, désorienté… Il est donc préférable de laisser l’enfant se réveiller seul ou en cas de besoin accompagner en douceur lors de son réveil avec par exemple ouvrir un peu les volets ou rideaux, lui faire des petites caresses, utiliser un ton doux et calme…
A cause du cododo mon enfant sera ?
1. Dépendant et ne dormira jamais seul
2. Il ne sera jamais autonome sur son sommeil
3. Se sentira rassuré et en sécurité
Réponse 3
Selon certaines idées reçues, si un enfant dort dans la chambre de ses parents, il deviendra dépendant d’eux pour s’endormir et ne pourra jamais dormir seul. En réalité, de nombreux enfants, qui ont pratiqué le cododo, pendant leurs premiers mois ou années, finissent par passer à un sommeil indépendant de manière naturelle, à mesure qu’ils grandissent. Certaines études montrent que le cododo peut renforcer le lien d’attachement et offrir à l’enfant un sentiment de sécurité, ce qui peut au contraire favoriser l’indépendance à long terme.
Le cododo peut nuire à la relation de couple ?
1. Vrai
2. Faux
Réponse 1 et 2
Il est souvent dit que partager le lit avec un enfant nuit à l’intimité des parents. Cependant, de nombreux couples trouvent des moyens d’équilibrer la vie de famille et la vie de couple, même avec un enfant dans le lit. Parfois, les parents adoptent des alternatives, comme un lit pour bébé collé au leur, afin de garantir à la fois proximité et intimité. Il est donc important d’en discuter avec votre partenaire afin de trouver un accord commun qui vous convienne à tous les deux.
Le cododo augmente-il le risque de mort subite du nourrisson ?
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Le sommeil partagé n’est pas un facteur de risque de mort subite du nourrisson. C’est sa mauvaise pratique, tout comme le sommeil solitaire, qui peut être dangereuse. Créer un environnement de sommeil sûr pour votre enfant repose sur des mesures simples mais importantes : maintenir une température confortable et sécuritaire, coucher le bébé sur le dos, utiliser une surface de sommeil ferme et éviter les objets, les peluches et les couvertures qui peuvent obstruer sa respiration.
L'alphabet codé de la communication :
Tout d’abord, le pleur du bébé est son premier moyen de communication. En pleurant, il exprime un besoin, par exemple le besoin de manger, de dormir ou de signaler une position d’inconfort. De plus, le livre d’Isabelle FILLIOZAT, au cœur des émotions de l’enfant, nous rappelle que le cerveau de l’enfant est en cours de développement. En effet, il ne possède pas encore les outils mentaux qui lui permettent de maîtriser ses émotions. L’enfant est dans l’incapacité de mettre des mots sur ce qu’il ressent, de faire des hypothèses, des déductions logiques. Tout petit, l’enfant vit de véritables tempêtes émotionnelles. Quelque chose qui peut nous paraître un détail se révèle souvent comme une grande importance à ses yeux. L’idéal, lorsque l’enfant pleure, c’est de l’accompagner : mettre des mots sur ce qu’il vient de se passer, se mettre à sa hauteur, l’entourer, le câliner. L’enfant se sentira rassuré, plus en sécurité et cela renforce le lien de confiance parent-enfant. Quoi qu’il arrive, l’enfant comprend que vous êtes un adulte fiable et qu’il pourra toujours compter sur vous. D’un point de vue santé, il n’a jamais été prouvé que pleurer aide à la maturation des poumons.
Réponse : accompagner
Est-il important de parler à son bébé ?
1. Vrai
2. Faux
Réponse 1
Oui, il est très important de parler à son bébé, même s’il ne comprend pas encore les mots; c’est essentiel pour son développement global. En entendant des mots, des phrases et des intonations, il commence à comprendre les sons et les rythmes du langage, ce qui est crucial pour ses futures compétences linguistiques mais cela renforce aussi son attachement émotionnel, sa sécurité et son développement cognitif. La communication verbale ou non verbale avec votre bébé joue un rôle clé dans son développement car l’enfant va apprendre par mimétisme
Comment puis-je aider mon enfant qui a du mal à prononcer un mot ?
1. Le faire répéter le plus possible
2. Le reprendre quand il se trompe
3. Reformuler ce qu’il souhaite dire
Réponse 3
Faire répéter ou reprendre l’enfant quand il se trompe peut le freiner dans son apprentissage de la parole. Il peut perdre confiance en lui. Il est donc important de plutôt reformuler quand un enfant prononce mal un mot. Par exemple un enfant qui va dire” pestacle” au lieu d’ un spectacle vous pouvez simplement lui dire “oui le spectacle” ou “tu veux me parler c’est du spectacle ?” plus il entendra le mot plus il arrivera à mieux le prononcer.
Le bilinguisme pour mon enfant c’est ?
1. Le mettre en difficulté
2. Une richesse pour lui
3. Le retarder dans son langage
Réponse 2
Le bilinguisme est une chance pour l’enfant, c’est un avantage qui va lui permettre de développer des compétences cognitives et émotionnelles car souvent la langue apprise est une langue maternelle ou paternelle, une réelle transmission de culture.
Plus tôt l’enfant entend régulièrement une autre langue, plus il aura la facilité de l’apprendre. Votre enfant va devoir assimiler plus de mots, plus de structure de phrase, le langage va peut être mettre plus de temps à apparaître mais cela est normal. Il est important que la langue soit bien maîtrisée par le parent qui va lui apprendre afin de donner des bases solides à l’enfant.
Utiliser le baby-sign associé à la parole va :
1. Accélérer le développement du langage
2. Freiner la compréhension des mots et des phrases
3. Favoriser les échanges entre l’enfant et l’adulte avant même l’acquisition de la parole
Réponse 1 et 3
Le baby-sign, autrement dit la communication gestuelle associée à la parole, est une méthode de communication signée. Certains mots sont issus de la Langue des Signes Françaises (LSF) et d’autres sont simplifiés pour les jeunes enfants. Avant 2 ou 3 ans, l’enfant n’a pas encore acquis complètement le langage. Il est donc difficile pour lui d’échanger avec ses semblables et de se faire comprendre. Le baby-signe va aider l’enfant à communiquer avant même de savoir parler. Par exemple, l’enfant est capable de dire qu’il veut “encore” un gâteau ou qu’il veut “changer” sa couche. Il n’est pas utile de signer tous les mots d’une phrase. Le mieux, c’est de signer uniquement les mots clés.
Cette méthode d’interaction pourrait être vue comme un frein au langage mais en réalité elle encourage l’acquisition des compétences langagières car l’adulte accompagne toujours le signe d’une verbalisation. L’adulte prend le temps de parler doucement et décompose les syllabes. L’enfant est souvent très intéressé lorsque l’adulte signe. C’est quelque chose d’attrayant. Qui n’a jamais agité ses mains en chantant “ainsi font font font, les petites marionnettes” ? La relation devient complice et l’enfant prend du plaisir à imiter. A l’aide du baby-sign, l’enfant se rend vite compte qu’il peut faire des demandes. Ses besoins sont plus vite assouvis, il ressent moins de frustration.
Plus tard, en grandissant, lorsque l’enfant ne trouvera plus d’intérêt à signer et que ses mains seront trop occupées à jouer, il délaissera petit à petit le signe. Le baby-sign associé à la parole est un incontournable dans nos crèches Rigolo Comme La Vie et ce depuis plusieurs années maintenant. Nous n’avons jamais observé un retard de langage chez un enfant qui utilisait cette méthode.
Retrouvez toutes nos vidéos baby sign associé à la parole sur notre chaîne Youtube
A quel moment faut-il apprendre à l’enfant la continence ?
1. Un peu avant l’école
2. Dès que vous le souhaitez
3. Dès que votre enfant sera prêt
Réponse 3
Il faut savoir que chaque enfant est différent et évolue à son propre rythme. Différents comportements peuvent vous indiquer que votre enfant grandit et commence à maîtriser son corps. La continence dépend de plusieurs facteurs, principalement liés au développement physique et émotionnel. Voici quelque éléments à considérer pour savoir quand commencer :
- Contrôle des sphincters : votre enfant peut commencer à avoir des périodes ou il garde sa couche sèche pendant plusieurs heures ce qui peut indiquer qu’il peut commencer à avoir une certaine maîtrise de ses besoins corporels.
- Intérêt pour les toilettes : il montre de la curiosité lorsqu’il voit des adultes ou des enfants plus âgés utiliser les toilettes.
- Un désir d’imiter : les enfants aiment souvent imiter. Si votre enfant montre de l’intérêt pour ce que vous faites aux toilettes, cela peut être un bon indicateur qu’il est prêt à apprendre.
Pour commencer l’accompagnement il est important de le faire progressivement au rythme de l’enfant, il faut faire preuve de patience et d’encouragement et même lors des petites victoires (il s’assoit sur le pot, il fait quelques petites gouttes…). Il faut éviter de le forcer, de lui mettre la pression ou de le punir en cas de petit “oups” cela peut risquer de le bloquer.
Quelle tenue faut-il mettre pour faciliter l’acquisition de la continence ?
1. Sans rien
2. En slip ou culotte
3. Une tenue facile à enlever pour lui et pas trop serrée
Réponse 3
La clé pour choisir la tenue adéquate pour accompagner la découverte de la continence est de privilégier des vêtements faciles à retirer afin de lui permettre de participer activement à l’apprentissage en toute autonomie pour s’habiller et se déshabiller lors des passages aux toilettes. Évitez donc le body, salopette, jean serré… et privilégiez les culottes, les slips, les leggings… votre enfant se sentira en confiance pour apprendre.
Il commence à marcher, que doit-il porter aux pieds ?
1. Il peut rester pieds nus
2. Je peux lui mettre des chaussons-chaussures
3. Il faut lui mettre des chaussures qui maintiennent sa cheville
Réponse 1 et 2
L’acquisition de la marche est une grande étape du développement de l’enfant ! Au tout début, l’équilibre n’est pas tout à fait stable et l’enfant a tendance à beaucoup tomber. Bien souvent, nous pouvons penser que porter de grosses semelles et des chaussures qui renforcent les chevilles va aider l’enfant à mieux marcher. C’est le contraire. Porter de grosses chaussures accentue ce phénomène de chute car le pied de l’enfant est trop lourd, il est davantage déséquilibré.
L’idéal, lorsque l’enfant commence à marcher, c’est qu’il ressente toutes les sensations au niveau de la voûte plantaire. Plus le pied est libre, plus les muscles peuvent travailler. Nous vous conseillons de laisser vos enfants pieds nus ou de porter des chaussons souples au début. N’ayez pas d’inquiétude quant au fait que l’enfant puisse attraper froid. L’enfant ne tombe pas malade par les pieds.
Nous vous préconisons les chaussures quand la marche est bien installée.
Si mon enfant se déplace pieds nus, il va attraper un rhume !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Un enfant qui se déplace pieds nus n’a pas plus de risque de tomber malade. Une maladie résulte de la contamination par un virus ou une bactérie.
Cela favorise sa prise de conscience du sol et l’aide à développer son équilibre. Le froid, en effet, n’entraîne pas directement la transmission de virus ou de bactéries, mais peut affaiblir le système immunitaire et créer des conditions favorables à leur propagation, comme un air sec et la concentration des personnes dans des espaces fermés.
C’est pourquoi les activités en extérieur et l’aération des espaces sont particulièrement importantes : elles permettent de renouveler l’air, de réduire la concentration de germes et de renforcer les défenses immunitaires de l’enfant.
Quel fainéant ! Tu devrais l’asseoir et le faire marcher, il apprendra plus vite.
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Forcer un bébé à adopter une position qu’il n’a pas acquise seul, comme s’asseoir ou marcher, peut nuire à son développement moteur. Cela perturbe l’acquisition naturelle des compétences motrices, risque d’affecter sa posture et sa colonne vertébrale, et peut diminuer sa confiance en lui. De plus, cela empêche le développement des réflexes et de l’équilibre nécessaires pour un contrôle corporel optimal. Il est essentiel de respecter son rythme naturel pour favoriser son développement en toute sécurité.
En effet, un bébé ne sait pas s’asseoir s’il a besoin que ce soit vous qui le mettiez dans cette position, et il ne sait pas non plus marcher si vous le tenez par les doigts ou s’il est aidé par un trotteur.
Si tu souhaites commencer la diversification mais que ton enfant a des hauts-le-cœur rien qu’en voyant le contenu de la cuillère, c’est qu’il n’est pas prêt !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Le réflexe nauséeux, communément appelé «haut-le-cœur», est une réponse naturelle du corps pour se protéger contre d’éventuels corps étrangers. Chez le bébé, ce réflexe est très proche des lèvres et va progressivement reculer vers le fond de la gorge, comme il se manifeste à l’âge adulte. C’est un réflexe normal qui diminue avec le temps grâce à la stimulation et à l’entraînement.
Permettre au bébé de jouer avec des objets qu’il peut mettre dans sa bouche favorise également le recul de ce réflexe. Il est donc tout à fait courant et normal qu’un jeune enfant, en début de diversification alimentaire et même au cours des mois suivants, présente ce réflexe, notamment lors du passage à de nouvelles textures. Ce réflexe ne doit devenir préoccupant que s’il devient vraiment récurrent, persiste sans évolution, et empêche l’alimentation.
Si je donne tout le repas à mon enfant, il ne mangera que le dessert !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Le repas tel que nous l’envisageons en tant qu’adultes est le fruit d’un apprentissage progressif pour l’enfant, qui, au début, aura du mal à gérer l’ordre des aliments. Vous pouvez donc lui proposer l’intégralité de son repas d’un seul coup, sans respecter un ordre précis, et lui laisser le choix de l’aliment qu’il souhaite manger en premier. Il commencera probablement par celui qui lui semble le plus appétissant, puis passera aux autres éléments du repas. Cela l’aidera également à mieux écouter ses sensations de faim et de satiété.
Il ne faut surtout pas donner d’aliment allergène trop tôt, car ton enfant pourrait faire un réaction allergique !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Au contraire, introduire progressivement les aliments potentiellement allergènes (arachides, œufs, poissons) entre 4 et 6 mois réduit le risque d’allergie. N’hésitez pas à en parler avec votre pédiatre ou votre médecin traitant qui pourra vous accompagner dans cette étape.
Tu pourrais quand même te donner la peine de faire à manger à ton enfant toi-même, les petits pots sont très mauvais pour la santé !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Les petits pots du commerce sont strictement contrôlés et souvent bien équilibrés. Ils permettent également de faire goûter à l’enfant des saveurs qu’on aurait pas forcément pensé à lui cuisiner. Il faut cependant faire attention de bien choisir ceux sans additifs ni sucre ou sel ajouté.
Attention le gras est très mauvais pour les enfants !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Les lipides sont essentiels au bon développement cérébral et énergétique du jeune enfant. Il faut privilégier les bonnes graisses comme les huiles végétales, les poissons gras ou l’avocat…
Le sucre donne de l’énergie aux enfants, il leur en faut beaucoup !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
En excès, le sucre favorise l’obésité, les caries et de mauvaises habitudes alimentaires. Il est préférable d’éviter les produits sucrés (jus industriels, biscuits…) et de privilégier les sucres naturels comme les fruits et céréales complètes…
Ton bébé ne fait toujours pas ses nuits ? Ajoute des céréales dans son biberon, il dormira comme un loir !
1. Vrai
2. Faux
Réponse 2
Les céréales ajoutées aux biberons n’apportent aucun bénéfice nutritionnel et sont souvent riches en sucres, ce qui peut favoriser l’obésité. À moins d’une indication médicale, il n’est pas nécessaire d’en donner à votre enfant. Si un enfant se réveille la nuit pour manger, cela répond à un besoin, qui n’est pas forcément lié à la faim, mais peut être à un besoin de réassurance ou d’hydratation, même si cela peut être difficile à vivre pour les parents.

