Il est facilement identifiable dans notre cuisine (en morceaux ou en poudre). On devine sa présence dans les fruits, on connaît moins son existence dans les légumes.
Non ! Tout dépend de la quantité consommée. Plus notre alimentation aura recours à des produits “bruts” que nous cuisinerons, moins il y aura de risque de surconsommation.
La règle ci-dessus vaut aussi pour lui ! Attention toutefois à ne pas verser dans l’excès en choisissant des produits exclusivement “sans sucre” pour ses repas!
Une petite cuillère de sucre en poudre dans un yaourt nature un peu acide ou, plus tard, un peu de chocolat sur la tartine du goûter sont loin d’être dangereux !
Le moment du bonbon
Ce petit délice doit être associé à un moment particulier pour rester exceptionnel : le samedi au goûter avec papa ou maman, le dimanche après le déjeuner familial. Le mieux étant de le proposer à la fin d’un repas, pour éviter les mauvaises habitudes de grignotages hors repas.
Le bonbon n’est pas “négociable”
Il ne doit pas devenir une monnaie d’échange contre un bon comportement, une assiette de légumes terminée ou une absence prolongée de papa ou maman. On court le risque d’envoyer un mauvais message à l’enfant et de perturber son ressenti face à l’alimentation.
Il y a bonbon et bonbon !
Penser à proposer un bonbon adapté à l’âge de votre enfant : il doit être en capacité de l’avaler sans danger.
Enfin, comme à chaque fois, il n’y a rien de meilleur que les bonbons “maison”. Le web regorge de recettes faciles de guimauves, chocolat et autres pâtes de fruits .
Article réalisé en partenariat avec API RESTAURATION
Crédit photo : auremar (Adobe Stock)
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